Ce sont les premiers jours de la vie d’un être, dit-on, qui conditionnent l’essentiel de ce que seront ses longues années d’existence.
Ces dix premiers jours auront étés riches d’enseignements, difficile d’apprendre la vie à SOland ! Beaucoup d’échecs, de doutes, de détresse aussi…puis vient toujours le moment où l’on trouve une piste, une voie, des voix…qui vous guident, vous prennent par la main vers l’issue salutaire aussi minuscule qu’un trou de souris, qu’un hole de green…
Et puis il faut apprendre à parler le Essolien - l’écrire plutôt – malheur à ceux et celles qui ne maitrisent pas les sens profonds des « bj, dmg, bvo, ^^, oink, mci, pg, lol, mdr… » et qui ne sont pas sensible à la poésie des doux noms des indigènes, en vrac : barnsss (mon chéri des greens!), smoky, stephqdr, mocter23, Tsubasaki, Celphésore, Guiguiczo (une perle !), tigerstef, isto, liv, tania56, TITIA, mcilroy…
Beaucoup d’entre eux coexistent dans des sortes de sectes qu’ils appellent « guilde », mais on reviendra là-dessus un autre jour.
Puis il faut s’accoutumer à sa condition, assumer ses origines, ainsi, lorsque l’on est issue d’une Shaoring comme moi, on a quelques atouts mais surtout beaucoup d’handicaps ! (tiens, « handicap » ! que ce mot-là à la bouche). Le genre féminin est, ici dedans, bien mal représenté (20 à 30% des êtres) et rien n’est fait pour le soutenir, le valoriser, le respecter !
On reparlera de ça aussi ces prochains jours, car s’il est une priorité à traiter dans le doux monde de SOland c’est bien celle de la condition des filles…
Longtemps, je me suis couchée de bonne heure. Jusqu'à ce que je rencontre Barnsss. Grand, beau, fort, sa sensibilité n’ayant d’égal que sa générosité. J’ai été sensible à son sens de l’humour et de l’autodérision ; toujours disponible, il m’a donné le gout de me battre et de me dépasser dans les moments où j’étais le plus fragile, prête à quitter ce petit monde de SOland dénué de sens. Dés que j’apparaissais, je cherchais sa présence, je le retrouvais où qu’il soit pour arpenter les plus vert des prés ou les plus chaud des déserts. Au pied des pyramides j’ai senti son haleine fraiche, son torse solide contre mon dos me rassurait lorsqu’il me faisait travailler mon swing. J’ai bien senti aussi en lui ce trouble diffus qui vous envahi malgré vous et qui vous enivre encore bien des heures après…
C’est mon « chéri des greens », comme j’aime le nommer. Et quoi qu’il arrive maintenant on est unis pour toujours.
Ces dix premiers jours auront étés riches d’enseignements, difficile d’apprendre la vie à SOland ! Beaucoup d’échecs, de doutes, de détresse aussi…puis vient toujours le moment où l’on trouve une piste, une voie, des voix…qui vous guident, vous prennent par la main vers l’issue salutaire aussi minuscule qu’un trou de souris, qu’un hole de green…
Et puis il faut apprendre à parler le Essolien - l’écrire plutôt – malheur à ceux et celles qui ne maitrisent pas les sens profonds des « bj, dmg, bvo, ^^, oink, mci, pg, lol, mdr… » et qui ne sont pas sensible à la poésie des doux noms des indigènes, en vrac : barnsss (mon chéri des greens!), smoky, stephqdr, mocter23, Tsubasaki, Celphésore, Guiguiczo (une perle !), tigerstef, isto, liv, tania56, TITIA, mcilroy…
Beaucoup d’entre eux coexistent dans des sortes de sectes qu’ils appellent « guilde », mais on reviendra là-dessus un autre jour.
Puis il faut s’accoutumer à sa condition, assumer ses origines, ainsi, lorsque l’on est issue d’une Shaoring comme moi, on a quelques atouts mais surtout beaucoup d’handicaps ! (tiens, « handicap » ! que ce mot-là à la bouche). Le genre féminin est, ici dedans, bien mal représenté (20 à 30% des êtres) et rien n’est fait pour le soutenir, le valoriser, le respecter !
On reparlera de ça aussi ces prochains jours, car s’il est une priorité à traiter dans le doux monde de SOland c’est bien celle de la condition des filles…
Longtemps, je me suis couchée de bonne heure. Jusqu'à ce que je rencontre Barnsss. Grand, beau, fort, sa sensibilité n’ayant d’égal que sa générosité. J’ai été sensible à son sens de l’humour et de l’autodérision ; toujours disponible, il m’a donné le gout de me battre et de me dépasser dans les moments où j’étais le plus fragile, prête à quitter ce petit monde de SOland dénué de sens. Dés que j’apparaissais, je cherchais sa présence, je le retrouvais où qu’il soit pour arpenter les plus vert des prés ou les plus chaud des déserts. Au pied des pyramides j’ai senti son haleine fraiche, son torse solide contre mon dos me rassurait lorsqu’il me faisait travailler mon swing. J’ai bien senti aussi en lui ce trouble diffus qui vous envahi malgré vous et qui vous enivre encore bien des heures après…
C’est mon « chéri des greens », comme j’aime le nommer. Et quoi qu’il arrive maintenant on est unis pour toujours.
barnsss en plein swing:
Dans la vie de SOland il y a des étapes qui vous changent à jamais lorsque vous les dépassez. Hier, j’ai passé un premier cap qui m’a propulsée dans le monde des « amateurs ». Nouveau statut, nouvelles exigences, plus fortes compétences. Si vous n’y êtes pas préparée c’est un véritable traumatisme que vous éprouvez.
La chance, du moins je le crois, m’a présenté à un être adorable qui a su redoubler de patience et de prévenance pour m’aider à affronter les défis qui se profilent dans les méandres secrets de SOland.
Il m’a initié aux subtilités des effets de rebonds, aux stratégies des parcours, il m’a valorisé et rendu l’espoir malgré l’immensité du chemin restant à parcourir. Et, sans aucune autre contre partie, il m’a donné les couteux outils indispensables pour atteindre l’étape suivante que j’imaginais jusqu’alors inaccessible. Cette spontanéité dans le don gratuit de soi, même si je suis née de la dernière pluie, je sais qu’elle est d’une extrême rareté, ici dedans comme au dehors, et que maintenant je me dois d’en être digne.
Guiguiczo. Il s’appelle Guiguiczo. Vous le croiserez surement du coté des arènes de Rufus et dans ces autres territoires dont on n’ose même pas prononcer le nom tant ils sont terrifiants. Sachez, lorsque vous partagerez son espace, que vous côtoyez un être non seulement doué mais génialement gentil et au grand cœur.
Je n’ai de hâte aujourd’hui que de m’éveiller, encore et encore, auprès de tout ce petit monde qui maintenant est aussi un peu le mien.
La chance, du moins je le crois, m’a présenté à un être adorable qui a su redoubler de patience et de prévenance pour m’aider à affronter les défis qui se profilent dans les méandres secrets de SOland.
Il m’a initié aux subtilités des effets de rebonds, aux stratégies des parcours, il m’a valorisé et rendu l’espoir malgré l’immensité du chemin restant à parcourir. Et, sans aucune autre contre partie, il m’a donné les couteux outils indispensables pour atteindre l’étape suivante que j’imaginais jusqu’alors inaccessible. Cette spontanéité dans le don gratuit de soi, même si je suis née de la dernière pluie, je sais qu’elle est d’une extrême rareté, ici dedans comme au dehors, et que maintenant je me dois d’en être digne.
Guiguiczo. Il s’appelle Guiguiczo. Vous le croiserez surement du coté des arènes de Rufus et dans ces autres territoires dont on n’ose même pas prononcer le nom tant ils sont terrifiants. Sachez, lorsque vous partagerez son espace, que vous côtoyez un être non seulement doué mais génialement gentil et au grand cœur.
Je n’ai de hâte aujourd’hui que de m’éveiller, encore et encore, auprès de tout ce petit monde qui maintenant est aussi un peu le mien.
Merci pour tout ces petits mots gentils a mon encontre, c'est avec grand plaisir que je te retrouverai pour de longues chevauchées sur les fairways de SO.
RépondreSupprimerGuiguiczo
Guilde des Canassons
Mon Guiguiczo à moi c'est VieuxGui et je l'apelle toujours maître lorsque je m'adresse à lui un peu comme une entité supérieure, un maître Jedi... Et pour ceux qui ne le savent pas encore Guiguiczo et VieuxGui sont une seule et même personne
RépondreSupprimerMcMagoo
Guilde des... on s'en fout de la guilde