Je me disais qu’un jour il faudra que j’écrive un petit article qui puisse rendre hommage à tous les amis avec qui je passe le plus clair de mon temps à Soland. Un article qui rendrait compte, de la manière la plus juste qui soit, des sentiments que j’éprouve pour chacun d’eux et que je n’aurai jamais soupçonné ressentir lorsque j’ai vu le jour dans ce joli petit monde.
Vous savez, ce genre de texte au style ciselé, au vocabulaire imagé qui vous plonge dans des émotions plus vraies que d’ordinaire, qui vous comprime la poitrine, humecte votre iris, et, telle la brise du soir, soulève de son souffle léger votre duvet à fleur de peau jusqu’alors endormi.
J’aimerai qu’il puisse exprimer combien chaque instant passé à leur cotés, en leur compagnie, à jouer ou tout simplement à dialoguer, combien ces moments-là comptent pour moi. Il est des semaines où les heures, plus brèves qu’un soupir, ces heures ainsi partagées ont étés bien plus nombreuses et intenses que celles consacrées aux amis et à la famille du réel monde du dehors.
Comment pourrai-je y exprimer, et avec quels mots, le miraculeux paradoxe de ces rencontres inattendues ?
Je livre peu de choses de ma triste vie du dehors et seuls quelques détails de leurs quotidiens ont filtrés à travers l’écran. Malgré ce, la complicité qui nous lie va bien au-delà de celle que l’on a parfois du mal à entretenir avec des amis de longue date…
« Les vrais amis se comptent sur les doigts d’une main ».
S’il en était ainsi je n’aurai que quatre doigts !
Certes ma liste d’amis s’étoffe de jour en jour au gré de rencontre jubilatoires, de parties parfois délirantes avec des joueurs et joueuses comme je les aime : spontanés, délicats, hilarants et surtout : bon perdants ! Ou du moins qui me laissent volontiers gagner. Ces amis-là sont précieux, l’on se retrouve sur les mêmes envies de passer un bon moment de détente sans prise de tête sur les performances d’équipe ou les temps de jeu…
Mais qu’est-ce qui peux expliquer ce qui nous lie avec mon Barnissou chéri, mon Guigui adoré, mon Juju salvateur et mon très estimé Patounet ?
Tiens ! Il n’y a que des garçons parmi eux…
J’aime la hargne que mon ptit chéri de barnsss développe à chaque partie pour donner le meilleur de lui-même et cet orgueil qu’il a bien du mal à masquer lorsqu’il réussit des coups incroyables. J’aime aussi l’entendre rire de lui-même quand, comme souvent, il rate des putts de débutant !
Guigui ! La gentillesse faite joueur. Toujours le mot coquin qui vous fait rougir…sa discrétion n’a d’égale que sa parfaite disponibilité. Galant, serviable il est aussi un semi Pro extrêmement doué bien que parfois, distrait par on ne sait quoi, il est capable de vous expédier un par 3 sans difficultés en…6 coups voire plus !
Un malaise ? Une urgence ? Une défaillance vitale qui risque de vous fragiliser pour longtemps ? Pas de problème ! Vous appelez Juju et il accourt à votre secours ! Massage cardiaque, bouche à bouche ou simple cellule d’écoute psychologique, Juju vous apporte tout ça à lui tout seul ! Certes son expérience de pompier lui donne ces compétences acquises depuis de longues années mais cela n’est rien face à sa grande gentillesse et son irrésistible humour.
Et puis il y a Patrik, Pat, Patou, Patounet…je lui dois tout ou quasiment tout, même s’il n’aime pas que je le dise c’est pourtant la vérité. Le peu que je maitrise des aspects techniques d’un drive, de l’interprétation de la météo, de la qualité d’un club…et bien c’est de lui que je l’ai appris. Je faisais alors partie de sa guilde et c’est normal direz vous qu’il m’apprenne tout ça en qualité de Maitre de guilde des greens power, mais l’essentiel de ce qui nous lie va bien au-delà des ces considérations matérielles…comment peut on imaginer que l’on puisse se comprendre instantanément d’un seul regard, d’un silence, d’un signe à peine perceptible ? On ne compte plus les fois où l’on s’est surpris à penser ou ressentir les mêmes choses au même instant…
Sa fidélité à toute épreuve m’émeut d’autant plus que j’ai quitté sa guilde pour aller en créer une nouvelle, traitresse que je suis ! Et là encore sa contribution sera considérable en termes de moyens qu’il m’accorde, d’expérience qu’il partage, de temps qu’il y consacre (parfois au détriment de sa propre guilde) et surtout de toute son amitié qu’il me donne !
Alors, comment voulez vous que je puisse un jour exprimer tout ça au travers d’un article aussi bien écrit soit-il ? Les mots n’y laisseraient qu’un reflet bien terne et réducteur de ce que j’éprouve chaque jour auprès de ces amis, de mes amis…
Pourtant, je me dis souvent qu’un jour j’écrirai un petit article qui saura leur rendre hommage, un jour peut être…
Pourtant, je me dis souvent qu’un jour j’écrirai un petit article qui saura leur rendre hommage, un jour peut être…
Balie avec un grand B ,sache que mes soirées quand tu n es pas la ne sont pas autant remplies de bonne humeur .Je ne pensais pas (le jour ou je me suis inscrit) que je pourrais tomber sur une personalité comme la tienne (franche chaleureuse et surtout pleine de joie et d humour).Avoir l idée de faire un blog et déja formidable mais en plus arriver a sortir des messages aussi bien écris me stupéfait a chaque visite.
RépondreSupprimerbalie ,snif ,continue d égayer mes soirées (et journées aussi car je vais souvent fureter sur ton blog la journée) je t adore petite poupée merci pour toute té générosité !
juju le pinpon bénévole
Tu n a rien a rajouter!!! Sa fait chaud au cœur de t entendre dire de si belle chose.
RépondreSupprimerOui Pat et extra guigui énorme et juju une tranquiliter a tous moment(mon partner préférer sur rufus) après ma tite chérie!!!
Comme le dit juju tu es adorable un vrai plaisir de te retrouver d' une magniere cotidienne et quand c est pas le cas c est triste voir ennuyeux
plein de bisous et merci encore pour ces douces paroles
poutoux partou!!!!!
je suis désolé de ne pouvoir te répondre ici, mais je n'en ai pas les mots.
RépondreSupprimerje te dirais ca de vive voix
Une seule chose tu t'est tromper de métier si tu n'est ni eecrivaine ni journaliste- editorialiste
Bisou de Patou