Voila deux soirées consécutives que je passe avec mes deux fidèles chéris, barnsss et Guiguiczo, ainsi que des coéquipier(e)s de passage non moins adorables (une belle pensée pour jurassien21 et smoky).
Ce doit être difficilement imaginable pour ceux qui ne vivent pas à SOland, de penser que certaines parties de golf peuvent provoquer des fou-rires irrépressibles ! On s’attendrait naturellement à énormément de sérieux, de concentration, de rigueur, de silence, voire d’auto-contemplation dans la recherche de la réalisation gestuelle du swing parfait. Or, les arènes de Rufus résonnent encore de nos éclats de rires, de nos cris, des gloussements complices lors des coups lamentablement ratés du partenaire se concluant souvent sur un quadruple bogey (si ! si ! même pour Guiguiczo – niveau 54 / HC -20 !). Le vent n’a pas encore effacé les empreintes laissées lorsque nous nous roulions par terre à la limite de l’hypoxie due aux spasmes abdominaux incontrôlés ! Nous en pleurions littéralement dans nos culottes !
ici Guiguiczo tentant un swing qui finira dans la mare!
Des moments comme ceux-là, il n’y en a pas souvent à SOland comme ailleurs. Des matchs avec des adversaires qui se prennent au sérieux, comme si leur égo, amour propre ou réputation risquaient d’être irrémédiablement dépréciés, sont malgré tout courants.
Mais des fois, en insistant, en chatouillant, on réussi à détendre quelque peu l’atmosphère parfois glaciale même si l’on se trouve à Volcano…
Que deviendrait SOland si nous nous laissions emporter par la gravité des dramatiques conséquences sur sa fiche de score, d’une balle percutant un palmier en plein drive ( ça m’est arrivé deux fois !) ou terminant docilement sa course dans le bassin du bord de green ?…
Et si nos discussions se limitaient aux inesthétiques raccourcis de langage : « bj, bvo, dmg, mci, pg… » ?
Nos journées sont trop courtes, même si le soleil ne se couche jamais à SOland (faudra qu’on en parle de ça un jour !), pour que trop de temps soit perdu à autre chose qu’à rire de soi et plaisanter avec ses amis, qu’ils soient des amis d’un match ou pour la vie.
« Il n’y a pas de honte à préférer le bonheur », disait Albert Camus.
tite balinette ,
RépondreSupprimermerci de m ' avoir citè dans ton message ,j ai passé aussi une excellente soiré hier soir a vos cotés , et c est quand même plus excitant de savoir que l' on va passer une soirée en s amusant énormément que de jouer contre des murs sans aucun humour.
En ce momment je joue seul un 18 t pour augmenter (où plutot baisser mon HC )sur le conseil avisé d une connaisseuse qui se reconnaitra , mais bouhbouhbbouhhhhooouuu je m ennuie a mourir, vivement que je retrouve toute où partie de la bande de gais lurons....
allez j y retourne car je n ' ai fait que 5 trous....c' est trop lonnnnngggggggggggg..
poutoux a ++
jurassik
je n arrive pas a devenir membre de ton blog je dois vraiment pas etre doué..........bon tu ne mets plus de messages..... mes passages sur balie.fr sont de plus en plus courrts....... alors FAIS QUELQUE CHOSE BORDEL !!!!!!! ECRIT MDRRRRRRRRRRRR
RépondreSupprimerGROS POUTOUX
A DEMAIN
JURASS