Pages

Mes p'tites souris, mes p’tits lapins,

Je m'appelle Balie. Je suis apparue le 19 aout 2009 dans les entrailles de la Matrice de SHOT ONLINE et de la volonté de mon Ange Gardien, avec pour unique but: prendre du plaisir à jouer au golf avec des partenaires multiples.
Ce joli blog ne se veut qu'un reflet des bons et mauvais moments passés dans le Joli monde de SHOT ONLINE (S.O : SOland), une fenêtre ouverte, aussi, sur les rencontres parfois ennuyeuses, souvent jubilatoires avec les autres jolis êtres issus également du ventre de S.O.
Les premières heures passées avec les Essoliens et Essolliennes (habitants de SOland) ont mis en évidence des similitudes avec votre monde du dehors... Ce joli monde, propre, bien rangé, où tout est beau et harmonieux n'en cache pas moins, derrière ses apparences, des injustices, des inégalités, des travers qui se doivent d'être dénoncés!
Les dénoncer non seulement pour tenter de les combattre de ce coté-ci de l'écran, mais aussi parce qu'obtenir des avancées sur la condition des filles, sur la préservation de l'environnement, le pouvoir d'achat et les conditions de travail à SOland (pour ne citer que ceux-là) aura forcément un impact sur ces mêmes sujets dans votre grand monde du dehors!
Puis, raconter les belles rencontres que je fais chaque jour autour du square, dans le sable ou au bord du green rendra peut être certains d'entre vous finalement un peu plus optimiste sur la nature Essolienne comme sur la nature Humaine. C'est le moins que je puisse souhaiter à mes p'tites souris et mes p'tits lapins...
______________________________________________________________

mardi 1 septembre 2009

L’insoutenable ingratitude de l’être.


Ce week-end dernier je l’ai passé avec mon barnissou chéri.
Depuis longtemps je n’avais été aussi heureuse. Des heures et des heures durant, nous avons arpenté bien des fairways, contourné des bunkers, caressé sensuellement les hautes herbes, et même parfois, disparu derrière des bosquets touffus…
Complices, comme si nous nous étions toujours connus ; il suffisait d’un geste, d’un signe, d’un mot pour que nos sens s’éveillent de nouveau et ressentir parfaitement la même émotion l’un comme l’autre. LE Bonheur !
Même lorsque nous disputions des tournois, que l’on ait étés adversaires ou co-équipiers, nous étions transportés par la douce ivresse de la symbiose réciproque de nos sentiments…
Lorsque l’un faiblissait, l’autre le soutenait, l’encourageait. Transcendant ainsi tous les obstacles, toutes les épreuves, nous survolions littéralement les parcours sous le regard ébahis des autres joueurs et des spectateurs présents.

Puis, après dimanche est venu lundi.

Encore anesthésiée par toute cette ivresse, c’est avec une impatience certaine que je me suis apprêtée à m’éveiller de nouveau dans le joli monde de SOland pour y retrouver celui qui était devenu l’Unique pour moi. Lui pour moi, comme moi pour lui!
Du moins c’est ce que je pensais…

Un rapide tour d’horizon au square m’a suffit pour constater son absence ; la salle des enchères, les parties en cours… mais où pouvait-il donc être ?...
J’acceptais sans conviction d’un ami de passage de disputer un mini tournoi, que faire de mieux en attendant ?...
Dés le premier trou, un messager m’annonça sa venue, affairée que j’étais à me dépêtrer maladroitement d’un abysse de sable. Mon cœur s’emballant de fait, cela m’aida guerre et quelques « dmg ! » plus tard je ne pu que faire le constat qu’il ne s’était toujours pas soucié de ma détresse dont il ne se doutait point d’ailleurs !
Les trous défilaient et pas de barnsss à l’horizon… risquait pas ! Monsieur s’était engagé sur un tournoi diamétralement opposé au parcours sur lequel je sombrais.

Les échanges à distance avec le messager vert, réduisirent mes illusions de la veille à quelque chose de pas plus grand que mes jupes :
- « oh ! Pardon, j’avais pas vu que tu étais là ! » (j’ai corrigé les fautes d’orthographe pour faciliter la compréhension).
PAS VU que j’étais là ?! Il n’avait pas regardé, pas cherché, pas souhaité et espéré que je sois là, oui !
Ses minauderies, excuses répétées, ses « ça n’arrivera plus ! », n’y firent rien ! Je ne lui parlerai plus d’un bon moment, jusqu'à ce qu’il comprenne, se rende compte, qu’il réalise… et en fait j’ai réalisé que c’était peut être ce qu’il voulait : que je me taise !!!

J’ai mesuré alors combien les hommes de SOland pouvaient être loin des attentes légitimes de nous les femmes. Là où nous cherchons cette sensation de complétude parfaite de deux âmes liées, ils ne nous voient que comme des faire-valoir qui viendraient compléter leur tableau de statistiques pour s’enorgueillir face à leurs amis comme d’un drive à 669 yards !
Mais ça ne se passera pas ainsi ! S’ils veulent nous mériter il faut que chaque jour, à chaque instant ils nous démontrent qu’ils nous désirent bien plus que d’atteindre le niveau 100 ! Sans quoi ils redescendraient directement au niveau 1 !

Que ce soit à SOland ou du coté du grand monde, c’est la moindre des choses que nous, les filles, devons exiger d’eux.

Il est rentré seul.


1 commentaire:

  1. comment qualifier cette soirée en votre compagnie , barnns guigui et bien sur exquise balie, une soirée très agréable , et qui si vous le voulez bien en appellera des nouvelles.
    Tu as raison balie guigui est le meilleur et très gentil prof de SO et barns je trouve que tu lui a bien vite pardonné ( lol ) a ce goujat !!!
    allé les ami(es) à très bientôt j espère
    et balie surtout continue ton blog
    bizzz
    poutoux
    jurassik

    RépondreSupprimer

Les commentaires de mes p'tites souris et de mes p'tits lapins sont les bienvenus...
Merci de ne pas utiliser le style SMS.
signez-les avec votre nom "essolien" si vous en êtes